Un indice boursier est un ensemble d'actions individuelles qui appartiennent à une certaine catégorie ou partagent certaines caractéristiques (ou "thème", comme disent les professionnels de la finance). Ces regroupements peuvent être vastes (comme un mélange d'actions de grande, moyenne et petite capitalisation provenant de divers secteurs) ou étroits (comme le fait de n'avoir que des actions d'un secteur spécifique comme les énergies alternatives ou la technologie).
Ces groupes deviennent comme un indicateur, représentant leur secteur ou groupe dans son ensemble. Ils aident les investisseurs à suivre facilement la santé économique d'un marché ou d'un secteur, de la même manière qu'ils suivraient un titre individuel pour déterminer la santé économique d'une entreprise.
L’acronyme GAFAM désigne les cinq entreprises américaines du secteur de la technologie les plus populaires et cotées en bourse : Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft.
Aussi appelés » Big Five « , ces cinq géants atteignent à eux seuls une capitalisation boursière de 4,5 billions de dollars. Ils font tous partie des dix entreprises américaines les plus cotées. Elles sont toutes listées au NASDAQ.
La plus ancienne de ces cinq entreprises est Apple, dont l’introduction en bourse date de 1980. Viennent ensuite Microsoft en 1986, Amazon en 1997, Google en 2004 et Facebook en 2012.
Metaverse est un terme qui est formé en combinant les deux mots différents, y compris Méta et Univers. Il s’agit essentiellement d’un espace numérique dans lequel les objets et les choses numériques représentent les personnes numériques. Il s’agit d’un concept supposé combiner des aspects de plusieurs technologies, notamment les médias sociaux, la réalité augmentée (AR), la réalité virtuelle (VR), les jeux en ligne et les crypto-monnaies. Et, permettre aux gens d’interagir les uns avec les autres virtuellement. En termes simples, il s’agit d’un monde virtuel dans lequel les utilisateurs peuvent socialiser, faire des achats, effectuer différentes activités et apprendre de nouvelles choses.
Avant d’être exploitées par les industriels sous forme de produits finis ou semi-finis, les matières premières comme les produits agricoles (blé, soja, etc.), les métaux (or, argent, etc.) et les énergies (pétrole, etc.) s’échangent sur les marchés financiers. Chasse gardée des investisseurs institutionnels, le marché des matières premières n’est pas réglementé (Over the counter/OTC). Acheteurs et vendeur y négocient directement par le biais de contrats spécifiques.
La décennie 2000 a été marquée par une hausse incessante des matières premières, certains analystes financiers parlant même de “super-cycle”. Depuis l’euphorie est retombée, mais les échanges restent nourris sur ce marché qui permet aux spéculateurs de diversifier leurs actifs.
Pour être négociée sur le marché, une matière première doit être interchangeable avec une autre substance du même type de qualité équivalente (fongibilité). On distingue :
Les matières premières dites “hard” regroupant essentiellement les énergies et les métaux. Les métaux précieux (or, argent, nickel, etc.) et bien sûr l’énergie (gaz, pétrole, etc.) font l’objet d’un trading soutenu.
Les matières premières dites “soft” sont principalement les produits agricoles. Blé, orge, colza, soja, café, riz, ou bien le coton figurent parmi les produits les plus échangés.
Le marché des changes (Forex) est le plus actif de la planète. Chaque jour, les acteurs économiques (banques, entreprises, etc.) y échangent l’équivalent de 5 100 milliards de dollars, d'après les chiffres de la Banque des règlements internationaux (BRI). Le régime des changes flottants qui s’est généralisé depuis 1970 et le trading à haute fréquence ont contribué au développement de transactions qui se déroulent 24 H/ 24 du dimanche soir au vendredi soir.
Contrairement à la Bourse, les transactions se font de gré à gré à travers des plateformes d’échanges électroniques. Les devises sont cotées en temps réel les unes par rapport aux autres. Car les achats et les ventes ne fonctionnent que par paires (cross). Un euro ou un dollar n’ont pas de valeur « en soi », mais seulement par rapport à une autre devise.
La valeur des monnaies évolue en fonction de la situation économique des pays ou des relations internationales. Ainsi, en cas de tensions géopolitiques, les investisseurs achètent souvent du yen et du franc suisse, considérés comme des devises refuges.
Autre particularité du Forex : les paires de devises font l’objet d’une double cotation avec un prix de vente et un prix d’achat :
représenté par la cotation la plus haute, le prix de vente est appelé « bid » (« offre ») ;
représenté par la cotation la plus basse, le prix d’achat est appelé « ask » (« demande »).
On désigne par crypto monnaie à la fois une monnaie cryptographique et un système de paiement de pair à pair. Ces monnaies numériques sont donc des monnaies virtuelles dans le sens où ces dernières sont caractérisées par une absence de support physique : ni pièces, ni billets, et les paiements par chèque ou carte bancaire ne sont pas possibles non plus.
Ce sont des monnaies alternatives qui n’ont de cours légal dans aucun pays du globe, sauf quelques rares exceptions. Leur valeur n’est pas indexée sur le cours de l’or ni sur celle des devises classiques et elles ne sont pas non plus régulées par un organe central ou des institutions financières. Il n’y a pas de banques centrales à leurs têtes. Et pourtant, sécurité et transparence sont leurs principaux atouts ! En effet, la cryptographie sécurise les transactions qui sont toutes vérifiées et enregistrées dans un domaine public, assurant tout à la fois confidentialité et authenticité grâce à la technologie Blockchain.